
Il se murmure, dans les milieux bien informés de notre belle cité, que le Préfet de Police RANCIEL, dont l'extrême droiture n'est plus à démontrer, ne serait pas la seule personnalité vinlandaise à pâtir de la publication des "Mystères de Port-au-Vin"...
On frémit, tout en restant droit dans ses bottes, comme le font ceux qui se savent profondément honnêtes et dévoués à la chose publique.
La bave d'une vulgaire bande dessinée (une fiction délirante destinée à un lectorat de drogués alcooliques et de chômeurs de la mouvance anarchiste, assurément) ne peut atteindre la blancheur de l'élite vinlandaise.
Cette fiction a le mérite de présenter quelques belles vues de notre ville, ce qui n'est pas le moindre de ses intérêts.